„Was weiss man von Zürich?“, fragt „L’Hebdo“ in der Ausgabe vom 19. März 2015. Ein zwanzigseitiges Dossier beleuchtet die Stadt von allen Seiten.
Tidjane Thiam, der neue CEO der Credit Suisse Group, werde bald der weltweit bekannteste Zürcher sein, schreibt Catherine Bellini in ihrem Einführungstext, der an der Spitze eines ganzen Dossiers zu Zürich steht (ab Seite 44).
Darin kommt auch die Neue Zürcher Zeitung zur Sprache, die grade nochmals einen Tsunami überlebt habe:
Le titre, qui se sépare de son imprimerie et vient de recevoir un nouveau rédacteur en chef, Eric Gujer, a traversé un tsunami: son conseil d’administration a failli donner la direction du journal à un homme béat d’admiration devant Christoph Blocher. La NZZ, la belle libérale, le phare zurichois qui rayonne dans le monde aurait pu tomber entre les mains de celui qui, depuis plus de trente ans, tente de creuser la tombe du Parti libéral-radical. Un PLR traumatisé depuis ce dimanche d’avril 1999 quand l’UDC le dépassa largement, raflant 30% des voix contre 22%. Un PLR qui, humilié encore il y a quatre ans, mordit la poussière à 12,9% dans ce canton qui fut si longtemps son fief incontesté. Des résultats qui, même atténués, se confirmèrent au niveau national.
C’en est assez! Le PLR s’est redressé. Devant la NZZ, journalistes, lecteurs et membres du parti se sont posés en rempart. Non, la révolution conservatrice ne passera plus!
Die Zeitschrift trifft weiter Unternehmer im Sphères und Bauern im Zürcher Weinland, und nicht nur der Genossenschaft Kalkbreite wird ein Besuch abgestattet, sondern auch einer Stadt im Nordosten, Winterthur: „Eine grosse Unterschätzte tritt aus dem Schatten von Zürich“.